La Passion de Piaf

«Si les gens veulent connaitre ma vie, ils n’ont qu’à écouter mes chansons».

C’est la réponse de Piaf à un producteur d’Hollywood qui voulait écrire un film sur sa vie.

De «La Goualante du Pauvre Jean» (qui n’est rien sans amour) à l’implacable «Je ne regrette rien», Piaf a peu dit mais elle a tout chanté.  La Passion de Piaf raconte une histoire vraie qui ressemble à une fiction : celle de la petite Edith, de sa naissance dans les quartiers pauvres de Paris, de la chanteuse des rues à la star internationale.

La passion de Piaf  redonne vie à ce destin hors du commun, cette énorme faim de vivre, cette soif d’amour, cette existence pleine de douleur, de PASSION. Partout dans le monde, Edith Piaf est un symbole, une icône de la chanson française.

Mouron, accompagnée de son fidèle complice, le pianiste Terry Truck, témoignent dans ce spectacle de leur passion à interpréter Piaf et apportent leur éclairage personnel sur l’œuvre de la chanteuse.

Le Café des Années Lumières

Le Café des années lumières est né des chansons de Mouron, les siennes et ses préférées, celles qu’elle a commencé à écrire durant le Big Bazar jusqu’à celles d’aujourd’hui.

« Tu sais Mouron, une grande chanson, c’est une chanson dans laquelle tu mets dans tes mots, dans tes notes et surtout dans ta voix, TOUTE TA VIE… ton enfance, tes amours, tes joies, tes peines… dans TROIS MINUTES ».

J’avais dix-sept ans et je faisais partie du Big Bazar lorsque Michel Fugain m’a dit cela. Cette phrase est restée gravée en moi, tellement elle ressemble à l’idée que j’ai de la Chanson, tellement elle adhère à ce que je pourrais nommer « ma mission » d’artiste.

Au Café des années lumière aquarelle – On vous sert à toute heure un p’tit déj. de soleil – On trouve des SOS dans toutes les bouteilles – Des brouillons de Pierrot en panne de chandelle  – Au Café des années… Lumière…..

Quinze Années d’Amour

«Je vous remercie, ceci justifie quinze années d’amour».

Ce sont les derniers mots prononcés par Jacques Brel un soir d’octobre 66 pour sa “dernière Première” à l’Olympia. Ces quelques mots referment le livre de l’une des plus belles histoires de la Chanson Française.

Plus qu’un simple récital, ce spectacle est un voyage à travers cette histoire unique, la vie et l’œuvre de Jacques Brel.

C’est un programme original composé de chansons, de citations de l’artiste, d’anecdotes et de témoignages.

Les hommes ne sont malheureux que dans la mesure où ils n’assument pas les rêves qu’ils ont, disait Brel. L’un des miens était d’assumer ses chansons. Et si Brel se définissait comme un aventurier, un nomade, un Don Quichotte, je suis tout simplement heureuse et fière d’être le temps d’un spectacle

“son amigo, son Sancho Panca”… (Mouron)

Mélodies d’Exil

« Mélodies d’exil » raconte le destin d’une poignée d’artistes, compositeurs et intellectuels qui, il y a quatre vingts ans, ont du fuir leur pays natal, devenue l’Allemagne nazie. Pour beaucoup d’entre eux la France fut le premier havre de paix après avoir échappé, parfois de justesse, aux griffes des bourreaux hitlériens. 

Parmi eux, des auteurs, des compositeurs d’exception: Brecht, Weill, Holländer, Glanzberg, Eisler, Waxman, dont les oeuvres ont fait le tour du monde et dont certaines chansons sont devenues légendaires.

Mouron et Terry Truck, attirés depuis toujours par ce répertoire intense et puissant ont décidé de sauter dans le train de ces artistes et de redonner vie,  sur scène, à ces « Mélodies d’exil ».

Afin d’intensifier le désir d’évasion de ces « Mélodies d’Exil », de mettre des ailes, des corps à ce tout nouveau spectacle, ils ont invités à se joindre à eux l’une des spécialistes de la danse aérienne,  Anne Tournié qui s’est entourée de deux artistes aériens et acrobates.

Ce nouveau spectacle réalisé par ces deux saltimbanques de la chanson et ces trois funambules de la danse ouvre la voie, qui reste encore à défricher, à cette nouvelle forme d’expression prisée par le public aujourd’hui: le musical aérien.

Mouron et Terry Truck ont adapté une version concert (piano voix) de ce spectacle.